[J’espère que cette entrée est mieu que l’autre. ;-) ]
Un soir comme un autre elle se baladait dans les rues de New York, et sans s’en rendre compte au détoure de plusieurs ruelles elle s’était éloignée du quartier dans lequel elle vivait. La tailles et la propreté des bâtiments avait changer, et en regardant le numéro et le nom de la rue elle compris qu’elle était dans le quartier chic.
*Bon et bien je pourrais toujours regarder les belles voitures et les magasins hors de pris.*
Elle continua son chemin, les mains dans les poches regardant par moment les passants et retomba à nouveau dans une ruelle. A vraie dire elle ce fichait de la direction qu’elle prenait, elle suivait simplement les éléments qu’elle trouvait intéressant.
Là il s’agissait d’une limousine noire il s’en dégageait quelque chose comme des signaux élécrtoniques ou radio. Il y avait des machines là dedans.
Dans le but d’en savoir plus elle fit comme si elle cherchait sa route ce qui dans un sens n’était pas totalement faux. Lorsque un hommes étrangement affublé sortie de l’automobile elle était de dos à lui et pouvait le fixer à son grès en regardant son reflet sur la vitrine d’une boutique.
*Une cape verte, un masque d’acier, des machines, quelque chose de magnétique…
Ce type, il me semble…
Pas très…
Oh mince !*
Elle venait de comprendre de qui il s’agissait, un certain fatalis, un de ses malades qui faisait n’importe quoi pour devenir le maître du monde. Une de ses lubies que seule un fou peu désirer.
Pensant que quelque chose ce préparait Nat décida de mener son enquête. Bien que ce soit la première fois qu’elle faisait cela, elle comptait bien profiter de ses don pour ne pas ce faire repérer.
Lorsque la limousine s’en alla et que les portes des bâtiments furent fermées, elle traversa la route et marcha jusqu’à la porte de service qui ne s’ouvrait que si on composait un code digital.
*Trop facile !*
Elle ouvrit le code et pirata le système de surveillance ce rendant invisible. En entrant dans les systèmes de surveillance de l’immeuble elle savait en temps réelle où étaient les gardes et où ce dirigeaient l’individus qu’elle suivait.
Quelques minutes plus tard, elle rampait dans le conduit d’aération de l’appartement terrasse et attendais tel un chat guettant sa proie que quelque chose d’intéressant ce passe.