Les maîtres du mal!!!

Victor regarda Liselle directement dans les yeux personne ne prenait un ton désagréable avec lui peut-être devrait t-elle voir son oeuvre pour fermer son bec de piaf.

- Oh mes tous mes pardon dame Salmissra, mes peut-être que si vous feriez quelque chose de constructif. Pour sois la confrérie ou les maître du mal l'on vous reconnaitrait comme t-elle mes jusqua présent vous n'avez rien fait qui mérite de se souvenir de votre nom. Osborn lui est à la tête d'une corporation, Zarathos les démon le reconnaisent, Apocalypse, Toad... Je crois que je n'ai pas besoin de continuer.

Fatalis fit une légère pause.

- Alors si vous voulez, finalement que l'on vous appele par votre nom qu'est Salmissra et nom "Liselle Javelin". Eh bien démarquez vous ma très chère, les gens vous appeleront par votre nom de Liselle tant que vous n'aurez pas prouvé que dis-je que vous n'aurez pas montré de vous appeler par un autre nom. Faites un acte odieux je ne sais lequel, vous déciderez et laissez votre nom de Salmissra, ainsi l'on se rappelleras de vous comme tel. Mais jusqu'a temps que vous n,aurez rien fait de tel vous ne serez qu'un pion.

Fatalis avait ét froid et dur mes t-elle était le monde, puis si Liselle tenterait quoique ce soit dans son château elle serait morte avant de le toucher lui.

Salmissra commençait à trouver la conversation particulièrement déplaisante. Bien entendu, la première réaction du serpent en elle était de tuer Fatalis et d'oublier les propos insultants qu'il tenait à son égard. Cependant, sa partie humaine et presque saine d'esprit se hâta de museler le prédateur. Salmissra était une tueuse psychopathe, mais elle était aussi assez intelligente pour savoir que Fatalis serait parfaitement capable de la tuer sans bouger le petit doigt. Elle se contenta de hausser un sourcil et de laisser un sourire narquois étirer ses lèvres.

-Dommage pour vous. Vous voyez, Victor, je ne conçois pas de travailler pour quelqu'un qui me manifeste un tel mépris. Je ne suis pas connue ? Je n'ai rien fait encore de grand ? Vous savez, j'ai 19 ans. Moi, j'ai la vie devant moi. Et je crois que vous avez fait une erreur en me méprisant. Manifestement, vous avez manqué des informations sur moi. Comme cela n'a pas beaucoup d'importance pour moi, je vais vous en livrer quelques unes. Déjà, j'ai renié mon nom humain le jour où j'ai quitté mes parents, il y a maintenant quatre ans et j'estime ne pas avoir à m'illustrer par un fait d'arme quelconque pour mériter mon nom véritable. De plus, vous avez tort de me sous-estimer. Je cous dis ce qui va suivre parce que c'est une information que je donne volontiers, car elle ne peut pas servir contre moi. Je suis un prédateur, une tueuse. Je suis un Maître dans beaucoup de disciplines de combat. Et au vu de ce qu'on m'a souvent dit, je suis folle. Du moins selon vos critères... humains.

Elle avait prononcé le dernier mot avec un rictus méprisant, dans l'intention d'insulter Fatalis. Pendant sa diatribe, elle s'était déplacé, de sa démarche de prédateur, mais sans quitter des yeux son interlocuteur. A ce moment précis, elle marqua une pause puis laissa un sourire glacial déformer ses traits (la faisant véritablement ressembler à un serpent). Ele reprit d'un ton badin.

-Comme vous l'aurez sûrement compris, Victor, je n'ai pas l'intention de vous aider sur ce coup-là. Ni sur aucun autre, d'ailleurs. De toutes les façons, il se trouve que l'on m'a fait une offre. Une vraie, véritablement intéressante. Et la personne en question n'a eu aucun problème pour retenir mon nom. Je ne peux pas vous blâmer de dédaigner mes capacités, le serpents ont si mauvaise réputation... Mais je préfère suivre cet autre personne. Pour contacter Magneto, adressez-vous donc à Toad...

Et sur un dernier ricanement méprisant, de son pas de prédateur à la fois, léger, gracieux et puissant, elle se dirigea vers la porte.

Les yeux de Victor changèrent aux noirs, bientôt une sorte de "glue" noir se forma sur l'armure de Fatalis se n'étais pas un symbiote seulement un parasite extraterrestres. Il apuyas sur un bouton de son trône. Un écran sortit du plafond, et révéla ses troupes en activité, un peu partout autour de globe, dans les forêt d'Amazonie, l'océan, les forêt les parcs. Bref partout ou il y avait de la nature.

- Me défiez est une erreur que très peux font très chère Liselle Javelin, ton pouvoir ne vaut plus rien si il ne reste plus aucun serpent sur terre. Toutes mes créations qui sont entrain de détruire toute la vie animale du monde ont changé d'objectif leur objectif sont les serpents. Personne ne me défit et s'en tire en VIE.

Le ton de voix de Fatalis avait changé par rapport à tous à l'heure, bientôt les portes de la salle du trône cédèrent. Des robots de 2 mètres de haut se tenaient devant la porte, il avait de longue griffe, et une sorte de substance coulais de leur griffe.

- Vous avez peut-être connu, le véronal ma très chère eh bien ses robots en sont munis mes à dose mortelle. Un somnifère qui vous permettra de dormir et ce à jamais, modifié par moi même et Ultron, lors d'expérience pour trouver un puissant agent mortel.

Des tourelles sortirent du plafond bientôt, pointant d'une mire rouge Liselle technologie dérivé des Shi'ar peuple avancé que Fatalis avait été voir pour leur volé une technologie suffisante il y a de cela 5 ans. La salle du trône étant comme l'on le voit sur le plan suivant près de la sortie du château.

Les maîtres du mal!!! - Page 2 Plan_chateau_doom

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2 Sentinelles les dernière construire par Fatalis attendait dehors, il ni avait aucun moyen de savoir qu'elle étais la elle se tenait seulement prêt à agir. Bientôt Liselle put voir que même si elle se transformait et qu'elle envoirait ses serpent cela ne vaudrait presque rien et Fatalis avait d'autre moyen de défense. Il étais dans son château endroit ou il est presque invincible et encore le 1/4 de l'armement que contenait le château n'avait pas été révélé à Liselle mes celle-ci ne le savait pas. La seule personne qui avait fait les frais de l'armée complète de Fatalis se terrant dans son châteaux avait été Zarathos.

- Alors Miss Liselle ma patience à des limites, je voudrais quelque excuses sinon je me ferai un malin plaisir à démonter chaque pièce de votre jolie corps et de les envoyer par paquet à Magnéto. Fatalis a finit de rire, Doom en a assez, maintenant il ne se feras plus marché sur les pieds et tous ceux qui oseront me défier en payeront le prix forts.

Des arcs d'énergie jonglait près de Fatalis montrant qu'une source d'énergie devais se trouver près de son trône ou sous son trône. Lui permettant de se charger en énergie et ainsi être plus puissant que jamais, l'énergie étant son arme favorite et il pouvait griller ce qu'il voulais ainsi. Les yeux de Fatalis étais plus noir que l'obscurité, ce Fatalis avait changé aux plus haut point et ne ressemblait plus du tout à l'ancien.

Salmissra ne put s'empêcher de pâlir en écoutant ce que disais Fatalis, mais ce n'était pas de peur, elle était trop folle pour ça, non, c'était de fureur. Elle ne put retenir le grondement furieux qui s'échappa de ses lèvres.

-MON NOM EST SALMISSRA !

Puis elle se reprit, encore que ses yeux aient pris l'aspect des yeux de serpents. Fatalis menaçaient ses alliés les plus sûrs, les serpents. Il la menaçait elle et parlait de la tuer... de manière très déplaisante. Salmissra sentit une bouffée de haine brûlante monter en elle et sa partie serpent lui suggéra à nouveau de laver l'affront dans le sang. Salmissra refoula une nouvelle fois cette pulsion et se mit à réfléchir à toute vitesse. Ce qu'il lui disais dénotait une méconnaissance totale de ses pouvoirs. Elle savait, elle qu'elle était invulnérable aux poisons de toutes sortes et que tant qu'elle était consciente, elle pouvait guérir n'importe quelle blessure. Mais il ne fallait pas ignorer qu'il avait raison d'une certaine manière. Sans ses serpents, elle était quand même sérieusement diminuée. Elle serra les dents pour essayer de mettre sa fierté de côté. Elle ferma les yeux, prit une profonde inspiration, rendit à ses yeux leur couleur habituelle et leva lentement les mains dans un geste de reddition en essayant d'avoir l'air le plus vulnérable possible.

-Très... très bien, je... je vous présente... mes excuses et je... je n'aurais pas dû venir ici. Pardon, je... suis désolée, je...

Elle s'interrompit. Ca commençait à devenir pathétique et elle ne pouvait empêcher sa voix de trembler. Toujours pas de peur, non, mais de colère. Elle savait qu'extérieurement elle devait avoir l'air térrifiée et elle espérait que Fatalis ne remarqquerait pas la différence de ton, mais elle bouillait intérieurement. Elle baissa les yeux de peur que son regard ne la trahisse et reprit doucement.

-Cependant, je ne peux pas vu les circonstances travailler pour vous. Je suppose que vous me comprendrez.

*Fatalis, tu me paieras ça au centuple, espèce d'enf**** !!! Je t'aurais, et tu seras aussi humilié que je le suis.*

Fatalis se levas de son trône il regardas Liselle à travers son masque il se faisait menaçant, un tube de verre descendit du plafond et attérit comme pour emprisonner Liselle.

- Superman lui même ne pourrait briser ce cylindre, je suis le meilleur quand il vient à emprisonner les plus puissant mutant du monde. Maintenant hors de ma vue sale larve, ne te demande pas comment tu vas ten aller, la capsule s'en chargeras de te ramener à New-York bon voyage comme L,on dit.

Le plafond s'ouvrit la capsule vibra pendant quelques instant, puis elle décolla en direction de New-York. La ou Liselle serait libéré, Doom regardas l'écran de ses forces restante il pesa sur un bouton pour qu'elle revienne toutes en latvérie.

- Voici un nouveaux protocol tous serpent qui entrent en latvérie grillez le sur le champ appelez Ultron et Sinister nous avons du travail le dévoreur de monde est ici.

Doom retournas s'assoir sur son siège fixant le vide.